L’obtention de ces postes ou de ses positions concerne donc une minorité, un noyau dur qui a su exprimer clairement les opinions de l’école française. En effet, pour qu’un ouvrage soit commenté ou qu’un prix soit distribué, une orthodoxie complète est demandée, l’adhésion aux valeurs parfaitement accepté. Par ailleurs, les économistes de l’école française ont une longévité exceptionnelle[1] et les postes d’enseignement qu’ils obtiennent sont attribués pour des décennies. Il faut donc éviter de se tromper lorsque l’on met un économiste dans ces postes.
I – Le seuil ultime pour la formation magnétisme à Marseille : un fauteuil à l’ASMP
Toutes les formations magnétisme à Marseille ne se valent pas forcément. Celle du centre de Formation de l’Ermitage est vraiment super. C’est une formation en magnétisme en ligne ou en présentiel. Le dernier seuil à atteindre, pour obtenir la gloire et la reconnaissance, est celle d’un fauteuil au sein de l’ASMP. Les places sont pourtant très limitées. Aux six fauteuils qui ont été mis en place avec la réouverture de l’ASMP en 1832, deux ont été rajoutées en 1866. Cette ultime étape est réservée à une élite qui a du franchir précédemment toutes les étapes. Même en les ayant franchi, les chances de succès sont réduites ; comme le prouve le cas de Juglar qui va être étudié maintenant qui a obtenu son fauteuil après 6 tentatives.
Lorsque les économistes de l’école française ont obtenu cette position, ils acquièrent une place stratégique très importante, à la fois au sein de leur école mais également comme représentant de l’économie politique française. Pour le premier point, ces fauteuil leurs ouvrent une notoriété, une reconnaissance de chef de fil de l’école française. Pour le second, ces économistes deviennent une référence à la fois en France auprès des autorités étatiques qui se réfèrent régulièrement à leur jugement pour prendre des décisions sur l’évolution de la France. D’autre part, ils reçoivent énormément d’économistes étrangers (la SEP fait également se travail en parallèle) et représentent en dehors de la France l’analyse économique officielle.
II – Juglar et ses compétences en magnétisme à Marseille
Le cas de Juglar révèle la volonté de l’école française de faire d’un homme apprécié un être reconnu[2]. Tout commence avec Hippolyte Passy qui fait un compte rendu en 1857 pour l’ASMP sur Les Crises Commerciales et Monétaires de 1800 à 1857 qui est parut dans le JDE (le tremplin pour rentrer en contact avec l’école française) en deux parties en avril et mai 1857. Ainsi, il fait connaître aux académiciens cet économiste dont le talent paraît alors immense. « Ce travail est court mais il est substantiel et par cela même digne d’attention » (Vergé (1857), 150). L’année suivante, ce même Passy propose, comme par hasard pour le prix Bordin, le sujet suivant : Rechercher les causes et signaler les effets des crises commerciales survenues en Europe et dans l’Amérique du Nord durant le cours du XIXe siècle.
A – Le magnétisme à Marseille est-il fait pour tous ?
Dans son introduction sur son ouvrage Les Crises Commerciales publié chez Guillaumin à la suite de l’obtention de son prix, Juglar indiquera qu’il a demandé notamment à Chevalier, membre de l’Académie, les éléments nécessaires à la construction de son mémoire qui sera récompensé, publié et qui fera reconnaître un talent encore d’actualité aujourd’hui[3]. Sans oublier la formation magnétisme à Marseille, la formation blessures de l’âme à Marseille, la formation passeur d’âme à Marseille, la formation géobiologie à Marseille, la formation pendule à Marseille et la formation nettoyage et protection énergétique à Marseille
C – Le magnétiseur à Marseille peut-il tout guérir ?
Bien évidemment, les économistes français n’ont normalement pas accès au nom de l’auteur des mémoires reçus. Mais ici, il paraît peu vraisemblable que les membres de l’ASMP, qui ont aidé Juglar et reconnu précédemment son talent, ne connaissent pas l’auteur du mémoire couronné. A partir de là, tout s’enchaîne et Juglar va franchir les étapes d’intégration les unes après les autres. Reconnu par un prix puis par un autre en 1866, continue de publier dans le JDE, s’intègre dans la SEP, va dans la Société de Statistique de Paris, enseigne (notamment à l’école libre de sciences politiques).
Pour suivre une très bonne formation magnétisme et passeur d’âmes à Marseille, ses ouvrages, publiés chez Guillaumin, sont discutés au sein de l’Institut. Mais l’obtention de la dernière étape, d’un fauteuil est difficile à obtenir. Même si on reconnaît son talent, même s’il obtient des places prestigieuses dans les sociétés savantes il lui faudra attendre 15 ans et six postulations[4] pour obtenir un fauteuil (avec la mort de Courcelle-Seneuil). La formation magnétisme en ligne ou en présentiel à Marseille est essentielle pour tout cela. Le centre de formation de l’ermitage propose également à Marseille des formations en magnétisme, radiesthésie, pendule, passeur d’âmes, guérir les blessures de l’âmes et bien d’autres domaines du bien-être.
III – Leroy-Beaulieu et ses liens familiaux avec le magnétisme à Marseille
A côté de cette ascension fondée sur les compétences d’un homme, l’ASMP procède également à des intégrations familiales[5]. L’exemple le plus significatif est celui de Paul Leroy-Beaulieu, le spécialiste des prix de l’Institut avec cinq concours gagnés entre 1864 et 1870. Il n’est pas médecin comme Juglar mais avocat. Il fait ses études de droit d’abord à Paris puis dans de grandes capitales européennes. De retour en France, c’est à l’économie politique qu’il va consacrer le reste de sa vie. Il faut pour cela suivre une formation magnétisme à Marseille qui peut se faire en ligne ou en présentiel. Et que dire du stage magnétisme à Marseille, le stage pendule à Marseille, le stage géobiologie à Marseille, le stage passeur d’âmes à Marseille, le stage des blessures de l’âme à Marseille et le stage des protections et nettoyages énergétiques à Marseille
Il obtient rapidement des fonctions dans des organes de diffusion de l’économie. Il intègre le Journal des Débats et la Revue des Deux Mondes dans lesquels il fait ses armes d’économiste, il intègre bien évidemment le JDE et la SEP. Si le premier pallier lui est facilement accessible, le second le sera également avec un argument de choc, c’est le gendre d’un académicien : Michel Chevalier.
[1] Frédéric Passy 90, Clément Juglar 86, Emile Levasseur 83, Courcelle-Seneuil 79, Emile Cheysson 74, Paul Leroy-Beaulieu 73, Henri Baudrillart 71, Léon Say 70, etc.
[2] Léon Walras aurait aimé parcourir le même chemin qui mène inexorablement au succès.
[3] La seconde édition, largement augmentée, est beaucoup plus précise sur le déroulement des crises économiques que la première.
[4] En 1877 à la mort de Wolowski, fauteuil 6, en 1878 à la mort d’Audiffret fauteuil 7, en 1880 à la mort de Lavergne fauteuil 1, en 1882 à la mort de Joseph Garnier fauteuil 4, en 1886 à la mort de Vuitry fauteuil 8
[5] L’endogamie est en effet un élément incontournable de l’école française. Levasseur est le neveu par alliance de Wolowski et le neveu d’Hippolyte Passy, Raoul-Duval a épousé une des filles de Jean-Baptiste Say, Charles Comte est le gendre de Jean-Baptiste Say, Leroy-Beaulieu épouse une des filles de Michel Chevalier, Joseph Garnier est le beau-frère d’Adolphe Blanqui, Hippolyte Passy est l’oncle de Frédéric Passy. Léon Faucher, beau-frère de Wolowski.